Philippe Breton analyse la prise de parole des Gilets Jaunes et la captation qu’en ont fait les élites « pour mieux s’inscrire dans le système. […] Les formes prises par la communication moderne ont appauvri la parole. Il y a par exemple une apologie de la clarté, mais tout n’est pas clair dans ce que l’on dit, et la parole se construit avec autrui, dans une interaction. »